Généalogie
De l'histoire à raconter et à partager...
Adhérer à une Association Métis. - Une décision importante!

"Plus particulièrement, nous retenons les trois facteurs principaux suivants comme indices tendant à établir l'identité métisse dans le cadre d'une revendication fondée sur l'article 35 : auto-identification, liens ancestraux et acceptation par la communauté." Source: Geninfo.org

Famille:
Delima(Delvina) Godmer/Godmaire/-Oscar Rocheleau -Barraute 14 Août, 1929


Ce site est dédié à nos grands-parents, leurs ancêtres, leurs descendants et leurs familles jusqu'à aujourd'hui. Ces hommes et ces femmes extraordinaire, ne voulaient qu'assurer la survie de leur famille. Les Autochtones, pour qui la communication écrite n'était pas encrée dans leurs traditions, transmettaient leur savoir verbalement.

Selon l'historien David McNab de l'Université York à Toronto, "En se mariant aux "blancs", qui eux aussi devaient suivre les coutumes de ces femmes autochtone mais à "coté" de la réserve, d'où vient le nom "Coté" pour les Métis; l
es femmes autochtones du Canada perdent leurs statuts et leur noms, si elles en ont un; car on leur a donné seulement un prénom et peut-être le nom de la tribu, ou le nom d'une action ou de quelque chose.  De plus, elles sont souvent nommées avec des noms et prénoms français à la naissance, dans le but de les protéger. Nous devons regarder la généalogie de ces femmes tout particulièrement car nous perdons leurs traces autochtones; sauf si nous regardons leur prénom (même nom féminin donnée par la mère ou la grand-mère, pour identifier la descendance autochtone), leur nom ou l'inexistence de leur nom, l'inexistence de/ou l'emplacement de leurs mariages, leur entourage familiale, le métier des hommes ainsi que l'histoire et la géographie du Canada depuis 1500."

"
On nous a toujours dit que notre grand-mère paternelle Delima/Delvina Godmer et que sa mère Elizabeth Léonard étaient des "sauvages" dans le sens autochtone du terme. Les Collin savaient aussi que leur arrière-grand-père maternelle Francois-Xavier Collin était autochtone. Certaine lignées généalogique métis de notre famille se croisent même, des générations plus tard et encore aujourd'hui. Ces descendants et leur famille, certains ont presque 90 ans en 2013, connaissent naturellement leurs origines autochtones. Les descendants de ces familles autochtones et métis se fréquentent encore aujourd'hui et plusieurs ont leurs cartes de membre de diverse associations Métis pour la chasse et la pêche, car ils s'identifient comme étant Métis. En 2013, nous avons encore des petits-cousins autochtones qui ont leurs statuts, car leur père est Indien. Les enfants Rocheleau/Godmaire se rappellent que leurs parents sont arrivés à St-Anne du Lac qui n'était seulement qu'une forêt au Québec vers 1940; y ont déposé leurs canoës et sont partis chercher de la nourriture pour ne revenir que trois jours plus tard. Grand-mère Delvina Godmaire parlait aussi de sa famille et de son grand-père de la Rivière Rouge au Manitoba. Ma grand-mère disait toujours à ma belle-mère " Tu sais que je suis indienne". Mes six tantes maternelles, mon beau-père et ceux qu'il l'ont connu m'ont aussi confirmé sans aucun doute que ma grand-mère paternelle était de descendance autochtone.  

L'information publié sur ce site est principalement axé sur la généalogie Métis de notre famille au Canada. Nous devons partager cette histoire avec nos enfants afin de leur communiquer leurs origines autochtones et métis, ainsi que les efforts que nos ancêtres ont dû faire pour survivre.
"Nous devons connaitre et comprendre les vies de nos ancêtres pour pouvoir mieux comprendre qui nous sommes aujourd'hui. Ce sera de même pour nos enfants..."
Bonne Lecture...






Comme l'indique la carte géographique ci-bas,
les ancêtres autochtones et métis de Delima (Delvina) Godmer/Godmaire
sont originaire du sud de l'Ontario (Village Huron Toronto, Ontario (1500)
Rivière des Prairies, Québec (1610) 
Chef Atseña dit Le Plat (1628-1657 - Tribu des Ours) père d'8enta Indian Huron / Catherine Le Plat 1651-1717. Sa mère était Annengthan Native American. 

L
es ancêtres
 autochtones et métis d'Oscar Rocheleau sont principalement originaire de la Nouvelle Écosse et sont identifiés en tant que Métis Mi'kmaq et/ou Acadiens. Les Épouse non-identifié (es) de Germain Doucet en 1620 et de Bernard Bugaret en 1636 à Port-Royale ainsi que leur entourage familiale autochtone nous indique qu'elles étaient sans doute autochtones. Leurs petits-enfants sont des Voyageurs Métis pour la Nortwest Company. Leur descendant épouse une "Josephte Savage /Sauvage fille de Laurent Sauvageau-Sauvage" à Sault-au-Récollet en 1794.






"Le Québec, contrairement à l'Ontario et aux provinces de l'Ouest, ne reconnait pas l'existence du peuple métis au Québec. Plusieurs associations travaillent d'arrache-pied à faire la preuve de l'existence au Québec de différentes communautés historiques métisses et leur migration. Chacun d'entre nous, à qui ce sujet tient à cœur, se doit de participer à cet effort collectif afin d'aider à prouver que les Métis au Québec sont bel et bien existants encore de nos jours, et fiers de leurs origines." 2011.

Source: Suzette Leclair, Johan Robitaille.
 http://www.geninfo.org/metis/index.html

D'ou vient le cas de la Cour Suprême du mois de janvier 2013 - Recherche: " Autochtones Article 91.24". La loi devrais changer dans environs trois ans d'après David Mc Nab. Les métis seront inclus comme les autochtones et les inuits par le Ministère des Affaires Indiennes. La "quantité de sang" autochtone ne détermine pas la quantité de l'héritage "Indien" de quelqu'un; était la décision, car ce serais du racisme. De plus, même si ton ancêtre autochtone était une femme, la personne est tout de même de descendance autochtone.

Ron Swain, vice-chef national, Congrès des peuples autochtones: "Je suis vice-chef national du Congrès des peuples autochtones. Je tiens à informer tous les sénateurs que notre collègue ici a présenté des témoignages en ce qui concerne l’affaire Daniels, une affaire plaidée avec succès, qui identifie les Métis et les Indiens non inscrits, comme des Indiens en vertu de l’article 91.24 de la Loi constitutionnelle."

Source:
http://www.parl.gc.ca/Content/SEN/Committee/411/lcjc/50000-f.htm?Language=E&Parl=41&Ses=1&comm_id=11


Labo d'animation du Nunavut : La version de l'ours

http://www.onf.ca/film/nunavut_animation_la_version_de_lours/
de:
t

Court métrage d'animation du Labo d'animation du Nunavut. Un explorateur colonial suffisant débarque d’un voilier et plante un drapeau dans les glaces de l’Arctique, sous l’œil stupéfait d’un chasseur inuit. L’explorateur plante un second drapeau, puis un troisième et un autre encore, pendant que le chasseur, de toute évidence peu impressionné par la « découverte » de ce territoire, reprend tranquillement ses occupations. Dans cette recréation pleine de charme et d’humour du premier contact entre Inuits et Européens, Jonathan Wright nous raconte l’histoire d’un chasseur rempli de bon sens et de l’explorateur sans ressources auquel il dame le pion. 

Source:Office National du Film.
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Métis du Canada[modifier]

Article détaillé : Métis (Canada).

Au Canada de nos jours, Métis (avec majuscule) désigne un peuple autochtone habitant principalement le centre du pays, descendant des femmes criesojibwéssaulteaux et de colons pour la plupartfrançais. D'ailleurs, les auteurs associent automatiquement le terme métis aux métis francophones. Ces métis, majoritairement catholiques et francophones donc, avaient fondé le Manitoba (ou état du Manitou) . Il y a des Métis dans tout le Canada, notamment en Ontario, en Saskatchewan, au Québec et au Labrador.[réf. souhaitée]

Le Métis le plus célèbre du Canada est Louis Riel (1844-1885) qui négocia avec le gouvernement canadien la création de la province du Manitoba. Il mena deux « rébellions » (certains les considèrent comme de légitimes mouvements de résistance) contre le gouvernement canadien et fut exécuté par pendaison le 16 Novembre 1885 . Après la seconde rébellion, des spéculateurs anglophones réussirent à déposséder les Métis de leurs terres en détournant un programme établi par le parlement canadien pour acheter ces terres.[réf. souhaitée]

Le gouvernement canadien ne reconnaît pas les Métis comme « première nation », mais la constitution canadienne de 1982 les reconnaît comme peuple autochtone, ce qui leur permit de regagner des droits traditionnels (notamment les droits de chasse).[réf. souhaitée]

Les différentes communautés métisses parlent des langues différentes . Certaines parlent une variété de français nommée Métchif (mitchif, mechif ou michif), mais que les linguistes nomment français métis, pour la distinguer de la langue mixte français/cri du même nom parlée par d'autres communautés et souvent méprise pour un langage. D'autres communautés parlent l'anglais métis, le cri métis ou le saulteaux/ojibwé métis. Les écoles établies par l'église catholique se consacrèrent à remplacer cette langue par le français standard, et peu de gens le parlent encore aujourd'hui. Actuellement, l'anglais est souvent employé par les Métis.[réf. souhaitée]

Du fait d'une définition peu précise du peuple Métis, la population concernée est difficilement estimable. Les estimations varient de 300 000 à 800 000 personnes.[réf. souhaitée]


Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Métis


Un fait intéressant pour les Rocheleau, mais qui ne semble pas relié à la ligne des Collin"; est que Louis Riel (1844-1885) était dans la maison "d'un certain Rocheleau" "half-breed" donc, métis; au Manitoba quelque heures avant "La Révolution" historique des Métis. Ce Rocheleau est encore un mystère, par contre, il n'y a eu que deux "Rocheleau" qui sont arrivés de France (Rochereau) en 1663 et c'était deux frères. Alors le "Rocheleau" au Manitoba en 1880, devait être de la même descendance soit de notre ancêtre Michel ou de son frère Vivien Rocheleau.

Extrait (en anglais) de la transcription de la Cour au procès de Louis Riel au Manitoba:

Q. Did you find Riel? A. Yes.

Q. Where? A. At the house of a half-breed named Rocheleau.

Q. What is his Christian name? A. I don't remember.

Q. How far south of Batoche was that? A. Six or seven miles.

Q. Did you know Riel at that time? A. I had met him before.

Q. How long before? A. About four months.

Q. About the December or January before? A. Yes; in November, I believe.

Q. Whereabouts? A. I met him at the house of Moise Ouellette.

Q. Had you been introduced and spoken to him then? A. I had spoken to him then.

Q. You knew him by sight? A. Yes.

Q. When you met him at Rocheleau's did he say anything to you? A. He did.

Q. What did he say? A. Well, he told me the time had come for the half-breeds to assert their rights.

Q. Do you mean that was the first thing or almost the first he said to you? Did he ask you any questions at all? A. When I entered the house I spoke to him. I sat opposite to him, and very little was said for a few moments. Presently he got up and passed in front of me and he suddenly stopped and turned to me and said, the time has come when it would have been well for a man to have been good, or to have led a good life.

Q. Did he say any more then? A. I replied to that.

Q. What did you say; do you remember? A. I cannot remember what I did say - something to the effect it would be better for a man to always lead a good life and be prepared for any emergency.

Q. What took place next? A. Just at that time a large crowd of men 
drove up to the door of
Rocheleau's house. Source:

http://law2.umkc.edu/faculty/projects/ftrials/riel/willoughby.html

Photo de conseillers métis et de Louis Riel au Manitoba. 

"L'Université du Manitoba a dévoilé vendredi de rares photographies historiques de la province et de Louis Riel mises au jour lors d'une vente aux enchères en Australie. 

Les huit épreuves prises dans les années 1860 et 1870 donnent un aperçu de la vie à l'époque de la colonie de la Rivière Rouge. 

Elles montrent des images d'Amérindiens Ojibway en deuil dans un cimetière près de Lake of the Woods ainsi que des carrioles au croisement des routes de terre Main et Portage à Winnipeg. 

Il existe également une photo de Louis Riel et quelques conseillers métis à l'Assemblée législative de l'Assiniboine. 

« Il s'agirait d'un des plus anciens tirages de cette image connue qui aurait été prise par le photographe Ryder Larsen en 1869 », explique Shelley Sweeney de l'Université du Manitoba." 

Source: Université du Manitoba

http://www.umanitoba.ca/libraries/units/archives/digital/red_river_cartes_visite/riel_council.html





Source: Université du Manitoba




À remarquer Huron-Wendat (Wendake) pour Delima /Delvina Godmer/Gdomaire et Micmacs pour Oscar Rocheleau. 

Source: Affaires indiennes et du Nord Canada / Indian and Northern Affairs Canada

carte-11x17.pdf
1.1 MB


Source: Les autochtones du Québec. - Secrétariat aux affaires autochtones

La Ceinture Métis de l'Assomption. (L'Assomption sash or "arrow sash")



L’hologramme spirituel de cette ceinture fléchée à été conçu à partir des valeurs culturelles et familiales Métis selon les couleurs de bases utilisées par les femmes Métis de l’époque en  utilisant le gros bleu, le petit bleu, le rouge, le blanc, le jaune et le vert dans la reconnaissance des valeurs des ancêtres des Premières Nations et celles des nouveaux arrivants venus de France. Le bleu du centre représente l’espace  universel,  le blanc du centre, représente l’esprit des Métis et celle de leur Nation  et de leur drapeau national, le rouge représente le coeur des Métis et celui de leur Nation, le petit bleu représente le ciel, le gros bleu représente l’ eau, le jaune représente le soleil, le vert représente la terre et le gros bleu de l’extrémité représente les océans qui unissent les Métis d’une mer à l’autre.


Source:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ceinture_fléchée  et  http://en.wikipedia.org/wiki/Ceinture_fléchée


Sources: Stephen A. White, Moncton University, Sources: Suzette Leclair, Gail Moreau DesHarnais, Johan Robitaille, Jean Prince; Les Sources Du Passé, David McNab, York University. Manitoba University, PRHD Le Programme de recherche en démographie historique (The Research Program in Historical Demography) Université de Montréal, Société Généalogique du Québec, Société franco-ontarienne d'histoire et de généalogie (SFOHG).
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